couv tosq hm

76 pages, 5€

ISBN 979-10-94346-09-9

En réimpression

> Quatrième de couverture :

« Il suffit de réfléchir au caractère "dérisoire"
dont on affuble, a priori, le groupe des enfants:
à partir de ce moment, le caractère "objectif" du ou des enfants
disparaît derrière le besoin d'évaluation
des satisfactions qu'il apporte à l'éducateur. »

Conférence de MM. Tosquelles, Oziol, Ourabah, Graton et Racine à Clermont (1962)

> François Tosquelles :

" Je suis né à Réus le 22 août 1912. À peine accompli mes seize ans, j'ai pu rentrer à la faculté de médecine de Barcelone. C'est ainsi que cinq ans après, j'ai été diplômé. Admetons que je fus quelqu'un de précoce - mais il conviendrait davantage, dans une juste appréciation des choses, que l'on me considère avec l'épithète de "cannibale" devant ce que je savais ne pas savoir."

> Photo de couverture :

Extrait du film Le Clos du Nid, de Tosquelles et Lambilliotte (D.R.)

 couv oury pi

52 pages, 3€

ISBN 979-10-94346-08-2

En réimpression

Conférence prononcée le 15 mars 1970 à Poitiers, 1ère édition, mai 2016

> Quatrième de couverture :

« La psychothérapie institutionnelle,
c'est peut-être
la mise en place de moyens de toute espèce
pour lutter, chaque jour,
contre tout ce qui peut faire renverser
l'ensemble du "collectif"
vers une structure concentrationnaire
ou ségrégative. »

> Jean Oury :

Né le 5 mars 1924 à Paris, Jean Oury a grandi à La Garenne (proche banlieue de Paris). Études de médecine et de sciences à Paris, où il rencontre Jacques Lacan, Julian de Ajuriaguerra et François Tosquelles.
À partir de 1947, il a vécu en contact permanent avec les malades mentaux : d'abord à l'hôpital de Saint-alban, puis à la clinique de Saumery.
C'est en 1953 qu'il ouvre La Borde.

> Photo de couverture :

la cuisine de La Borde, vers 1970 (D.R.)

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176 pages, 12€

ISBN 979-10-94346-07-5

DISPONIBLE

> Quatrième de couverture :

« Ce livre parle de notre voisin de palier, de la femme au comptoir ou derrière le guichet ; il parle de nous, de notre monde ordinaire, avec nos mots, ceux de tous les jours. Des mots qui ne prennent pas de gants, directs sur ce monde banal et cruel. Rien de spectaculaire, rien que l’ordinaire. Mais des drames, des gens qui craquent ou qui meurent, sans que ralentisse le cirque infernal, “comme si de rien”. Ceux qui parlent, d’ailleurs, étaient à fond dans le circuit, jusqu’au pépin… Quelque chose est arrivé qui les a mis hors course, les yeux dessillés. C’est ce moment de la prise de conscience, quand ils envisagent leur compromis-sion dans le système néolibéral à s’en rendre malade, que Lise Gaignard saisit ici sur le vif. »

(Extrait de la Préface de Pascale Molinier)


> Lire des Extraits

> Commander des exemplaires

 couv Tosquelles
272  pages - 25€

ISBN 979-10-94346-06-8

DISPONIBLE

> Quatrième de couverture :

« Le journal est l’histoire écrite de l’hôpital » :  c’est ainsi que François Tosquelles conçoit l’hebdomadaire Trait-d’union, organe interne de l’hôpital psychiatrique de Saint-Alban, dont le premier numéro paraît le 14 juillet 1950. Outil thérapeutique réalisé par le club des malades, Trait-d’union puise son dynamisme à la source d’une conflictualité sociale intarrissable. Le travail s’y réinvente peu à peu dans une coopérative ouverte à tous.

Ce livre rassemble toutes les contributions de Tosquelles au journal : éditoriaux, articles, commentaires, notes, billets… À travers elles, on découvre un homme infatigable et généreux dans son activité permanente d’analyse institutionnelle, faisant bénéficier les dynamiques groupales de toute son expérience clinique et politique, et de son goût extraordinaire de la parole et de l’échange. On y reconnaît sa plume piquante, rapide, qui travaille ses interlocuteurs sans complaisance. Et l’on se prend à l’imaginer courant d’un pavillon à l’autre, débattant d’un film ou d’une veillée, commentant le rêve de l’une ou la paranoïa de l’autre, insistant sur la nécessité de la formation infirmière...
Il est une invitation à faire "un bout de chemin" du pas alerte de Tosquelles et à le suivre au quotidien, dans son combat pour la participation de chacun à la vie collective.

> Préface de Pierre Delion et dossier « Autour de Trait-d’union » réalisé par Jacques Tosquellas, Mireille Gauzy & Sophie Legrain.

> Aperçus (pdf) :

Extrait 1 (Premiers articles p. 21-32) - extrait 2 ("Paul Éluard et nous" p. 92-94) - extrait 3 (Chronologie du dossier p. 247-248).

1ère édition, octobre 2015

> Présentation de la collection « La Boîte à outils »

 couv GTPSI 4

240 pages, 18€

ISBN 979-10-94346-05-1

DISPONIBLE

> Présentation de la collection "Actes du GTPSI"

> Quatrième de couverture :

FÉLIX GUATTARI
Ce qu’il faut retenir, c’est que le fantasme, qui se présente comme quelque chose de singulier, de personnel, d’incompréhensible, de massif, quelle que soit la voie d’accès qu’on y trouve, le point méthodologique, c’est de dire, d’abord, que le fantasme implique l’Autre.
À partir de ça, j’essaie d’avancer une définition provisoire du fantasme : le fantasme est une représentation imaginaire ayant pour fin de mettre l’Autre en posture de répondre au désir, comme il est impossible qu’il le fasse en réalité ; ça, c’est une hypothèse.
Pourquoi impossible ? Cette impossibilité a sa source dans des raisons de structure. Ces raisons de structure, c’est qu’elles aboutissent à ce qu’automatiquement, le Sujet est amené à éluder le désir, et donc, du même coup, à manquer l’Autre, d’une façon ou d’une autre.
C’est important, « d’une façon ou d’une autre », parce que ça déterminera une certaine qualité du fantasme et que ça permettra de le situer dans ce que j’appelais une « histoire », genre histoire hégélienne des figures du fantasme.
(Extrait p. 141).
Participent à ces discussions : Jean Ayme - Hélène Chaigneau - Jean Colmin - Roger Gentis - Félix Guattari - Ginette Michaud - Robert Millon - Jean Oury - Maurice Paillot - Yves Racine - Horace Torrubia - François Tosquelles - Henri Vermorel et Brivette Buchanan.

1ère édition, juin 2015

 couv GTPSI 3

208 pages, 18€

ISBN 979-10-94346-04-4

DISPONIBLE

> Présentation de la collection "Actes du GTPSI"

> Quatrième de couverture :

Quatre exposés prennent pour cadre les institutions psychiatriques :

• Jean Ayme parle de la fantasmatisation des réunions de thérapeutes par des malades,

• Roger Gentis, des psychothérapies individuelles et des phénomènes de groupe,

• Jean Oury, de la psychothérapie multiréférentielle,

• et Horace Torrubia, de la culpabilisation du malade et du contre-transfert du personnel soignant.

Les débats avec François Tosquelles, Robert Millon, Jean Colmin, Yves Racine, Michel Baudry et Gérard Wajeman évoquent de nombreuses situations cliniques afin d’y déchiffrer les logiques à l’œuvre.

Comment faire de l’hôpital un milieu soignant ?

Entre analyses sociologiques et approches médicales, les outils de la psychanalyse, tels le fantasme et le transfert, sont mis à l’épreuve dans les collectivités thérapeutiques.

1ère édition, juin 2015

 C2 GTPSI 2 BAT
144 pages, 12€ 

ISBN 979-10-94346-01-3

Épuisé

édition électronique gratuite (epub)

> Présentation de la collection "Actes du GTPSI"

> Quatrième de couverture :

 
MICHEL BAUDRY
Pour ce que tu dis, Ayme, du niveau de vie dans les pays sous-développés, c’est vrai, seulement il y a autre chose [...]. On peut ne pas souffrir de la modicité du pécule si on sait que l’argent est là comme un signe, et pas comme une valeur dans l’hôpital psychiatrique, et que la vertu de nos malades, ce pourquoi j’ai de la satisfaction à me trouver avec eux, c’est leur profonde sagesse.
Ces gens m’émerveillent toujours, car ils savent se contenter de signes, ils ne demandent pas tant la réalité que le signe. Qu’on s’occupe d’eux de cette espèce de démarche vers le signe, et non vers la réalité, et ils se rebâtissent une réalité plus normale, plus adaptée.
Il ne faut pas être trop soucieux de réalisations qui paraissent difficiles. Je sais qu’il existe des établissements qui marchent bien, où il y a une grosse activité ergothérapique avec de gros bénéfices. Ils arrivent à avoir des millions – mais c’est l’aliénation de l’ergothérapie pour elle-même, qui n’a plus de sens psycho-thérapique : la valeur du signe est perdue. Il faut avoir conscience qu’on n’est pas là pour des réalisations, mais pour manipuler des signes.
(Extrait p. 111).
Participent à ces discussions : Jean Ayme - Michel Baudry - Hélène Chaigneau - Jean Colmin - Roger Gentis - Philippe Koechlin - Robert Millon - Jean Oury - Yves Racine - François Tosquelles et Brivette Buchanan.
 
1ère édition, novembre 2014

c1 GTPSI 1 BAT
120 pages, 12€ 

ISBN 979-10-94346-00-6

1er tirage ÉPUISÉ

édition électronique gratuite (epub)

> Présentation de la collection "Actes du GTPSI"

> Quatrième de couverture :

HORACE TORRUBIA
Si on disait : « On va s’occuper du rôle du chef de quartier, par exemple, pendant dix ans », on arriverait à trouver des tas de choses théoriques et pratiques dans la psychiatrie, en s’occupant du rôle des infirmiers.

FRANÇOIS TOSQUELLES
Hum…

JEAN OURY
Il y a quelques années, j’avais été surpris, c’était pour la soi-disant préparation du Congrès de Zurich. Ça a surpris les étrangers, on a dit : « La France, elle a un groupe de savants. » — « Qu’est-ce qu’ils font »… Ils ont inventé un nom, comme pour tous les savants : — « C’est des institutionothérapeutes ».
Alors, à Zurich, on a vu un symposium consacré à l’« institutionothérapie ». Les curieux venaient, comme au zoo, pour voir de quoi il s’agissait. Ils en sont sortis sans trop savoir, de quoi il s’agissait…
Extrait p. 87.
Participent à ces discussions : Jean Ayme - Jean Colmin - Roger Gentis - Jean Oury - Maurice Paillot - Yves Racine - Horace Torrubia - François Tosquelles et Brivette Buchanan.

1ère édition, novembre 2014

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